Qu’est-ce que la forme pronominale ?
Un verbe à la forme pronominale est un verbe se conjuguant avec un pronom réfléchi : s’appeler, se démarquer, se moucher, etc.
Un verbe à la forme pronominale est un verbe se conjuguant avec un pronom réfléchi : s’appeler, se démarquer, se moucher, etc.
Pour former le participe passé, on utilise le plus souvent le radical du verbe à l’infinitif et on y ajoute les terminaisons indiquées ci-dessous selon le groupe du verbe.
Le 1er groupe a des terminaisons en é, le 2e groupe en i, et le 3e groupe en i, u, s ou t.
Exemples :
1er groupe (verbes terminant par -er) avec le verbe aimer en exemple : aimé, aimée, aimés, aimées.
2e groupe (verbes terminant par -ir et dont le participe présent finit en -issant) avec le verbe aboutir : abouti, aboutie, aboutis, abouties.
3e groupe (verbes terminant par -ir et dont le participe présent ne finit pas par -issant, verbes terminant en -oir et -re) avec :
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d’exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d’incertitude.
Ex :
En ce qui concerne l’écrit, il est nécessaire de se questionner préalablement sur le document à rédiger (mémoire, thèse, publication, etc.) et la discipline concernée (sociologie, chimie, linguistique, etc.), afin d’effectuer des recherches sur ce qui est considéré comme étant académique ou non dans ce cadre.
De plus, si vous devez rédiger un écrit académique, vous bénéficiez sûrement d’orientations générales qui vous ont été précisées pour cet écrit.
Enfin, avec Scribbr, nous vous proposons plusieurs articles dans notre partie portant sur le style académique, afin de vous guider pour respecter les exigences de ce style.
Le style académique correspond au style préconisé par les académies. Le style académique peut toucher de nombreux domaines différents, comme les arts et les sciences. Concernant l’écrit, selon le type de document rédigé (essai, publication mémoire, etc.) et les disciplines considérées (sciences, littérature, etc.), les normes exigées pour le style académique ne seront pas constamment identiques.
Nous vous proposons toutefois des conseils globaux dans nos articles pour respecter le style académique relatif aux écrits académiques universitaires.
Le gérondif est employé comme complément circonstanciel pour indiquer un fait intervenant en même temps qu’un autre fait exprimé : en salant mon plat, j’ai regardé Jeanne.
Le gérondif se compose toujours de la préposition “en” suivie du participe présent (en rêvant). En l’absence de la préposition “en” (rêvant), le verbe sous la forme finissant par -ant est un participe présent.
Le gérondif est un mode impersonnel formé par la préposition “en” suivie du participe présent du verbe, par exemple : en dormant.
Les verbes pronominaux peuvent s’accorder selon les cas avec le sujet ou avec le complément d’objet direct s’il est placé avant le verbe. Ils peuvent également ne pas s’accorder, notamment si le complément d’objet avant le verbe est indirect, si le complément d’objet direct se situe après le verbe ou s’ils sont invariables.
Exemples
Accord avec le sujet : Estelle s’est emparée de son plan.
Accord avec le COD avant le verbe : Ils se sont lavés.
COI avant le verbe, pas d’accord : Estelle et Laurent se sont parlé.
COD après le verbe, pas d’accord : Estelle s’est cassé la jambe.
Verbe invariable : Ils se sont plu à dessiner tout l’après-midi.
Les verbes pronominaux sont les verbes conjugués avec un pronom réfléchi comme le verbe se laver : je me lave, tu te laves, il/elle/on se lave, nous nous lavons, vous vous lavez, ils/elles/eux se lavent.
Le subjonctif se conjugue à quatre temps, deux temps simples (présent et imparfait) et deux temps composés (passé et plus-que-parfait).
De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l’indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Par exemple, pour le verbe aimer : que j’aime, que tu aimes, qu’il/elle/on aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu’ils/elles/eux aiment.
Les terminaisons de l’imparfait du subjonctif sont celles-ci : -sse, -sses, -^t, -ssions, -ssiez, -ssent.
Que j’aimasse, que tu aimasses, qu’il/elle/on aimât, que nous aimassions, que vous aimassiez, qu’ils/elles/eux aimassent.
Enfin, le subjonctif passé se construit avec l’auxiliaire être ou avoir conjugué au subjonctif présent suivi du participe passé (que j’aie aimé, que tu aies aimé, qu’il/elle/on ait aimé, que nous ayons aimé, que vous ayez aimé, qu’ils/elles/eux aient aimé). Et le subjonctif plus-que-parfait se forme avec l’auxiliaire être ou avoir conjugué à l’imparfait suivi du participe passé (que j’eusse aimé, que tu eusses aimé, qu’il eût aimé, que nous eussions aimé, que vous eussiez aimé, qu’ils eussent aimé).
Le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le sujet lorsqu’il est employé avec l’auxiliaire être : elles sont passées, nous sommes partis, etc.
Le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le complément d’objet direct lorsqu’il est employé avec l’auxiliaire avoir, mais uniquement s’il est placé avant le verbe : nous avons apporté l’argenterie → nous l’avons apportée.
Ces deux règles constituent la grande majorité des cas rencontrés. Toutefois, des particularités interviennent lorsque les participes passés sont employés avant un infinitif ou avec des verbes pronominaux (s’écrier, se rappeler, etc.).
Le participe est un mode qui comporte deux temps : le participe présent et le participe passé. Le participe passé permet la formation de nombreux temps composés (passé composé, plus-que-parfait, passé antérieur, futur antérieur, etc.) en s’ajoutant aux auxiliaires être ou avoir. Il suit des règles d’accord particulières selon qu’il soit utilisé avec l’un ou l’autre.
En cas de doute sur la forme correcte d’un verbe à l’infinitif, vous pouvez imaginer une phrase commençant par “il faut” et la compléter avec le verbe que vous recherchez : il faut couper, il faut manger, etc.
Selon qu’ils soient du premier, deuxième ou troisième groupe, les verbes à l’infinitif décrivent une action ou un état et se terminent par :
L’infinitif doit être utilisé :
Il peut être utilisé en début de phrase : Lire est mon passe-temps préféré.
Un verbe à l’infinitif est un verbe qui se présente sous sa forme non conjuguée : parler, construire, rêver, répondre, etc. C’est sous cette forme que les verbes sont compilés dans les dictionnaires. L’infinitif est considéré comme un mode comprenant deux temps : l’infinitif présent (aimer) et l’infinitif passé (avoir aimé).
L’impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
L’impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu’ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
Hormis pour certains verbes du 3e groupe, l’impératif se forme généralement à partir du même radical que le présent de l’indicatif. Les terminaisons sont les suivantes, sachant que pour le 3e groupe des exceptions existent.
L’impératif est le mode utilisé pour exprimer l’injonction, par exemple :
Cette question fait débat auprès des spécialistes. Comme le conditionnel possède beaucoup d’usages, et pas uniquement celui de la condition, et qu’il peut servir à exprimer un futur dans le passé, beaucoup le considèrent comme un temps. Il est toutefois traditionnellement présenté comme un mode dans les manuels scolaires et les tableaux de conjugaison.
Un résumé est une présentation courte d’une situation ou d’un ouvrage qui en restitue les points principaux.
Pour une paraphrase efficace, ne vous contentez pas de modifier la phrase d’origine en remplaçant certains mots par des synonymes. Essayez plutôt de :
L’essentiel est de vous assurer que vous ne copiez pas la structure du texte original : reformulez l’idée avec vos propres mots.
Un correcteur d’orthographe est un outil qui vérifie automatiquement votre texte et corrige les fautes d’orthographe, la grammaire, les erreurs de ponctuation et les problèmes de syntaxe. Vous pouvez consulter notre comparaison des meilleurs outils gratuits de correction d’orthographe pour en apprendre davantage.
Un outil de paraphrase modifie davantage votre texte et propose des reformulations, que le texte contienne des fautes de grammaire ou non. Il peut paraphraser votre texte pour des phrases plus concises et lisibles ou pour d’autres raisons. Vous pouvez consulter notre analyse des meilleurs outils de paraphrase pour en apprendre davantage.
Certains outils disponibles en ligne combinent les deux fonctions. D’autres, comme Quillbot, proposent séparément des outils de correction d’orthographe et de paraphrase. Veillez à bien choisir l’outil que vous utilisez afin d’éviter des changements non désirés.
Une conclusion comprend généralement :
Néanmoins, selon le type de document à rendre (dissertation, mémoire, etc.), ces parties peuvent varier quelque peu. Nous vous recommandons la lecture de notre article sur le sujet si vous souhaitez en savoir plus.
Dans une dissertation, un rapport de stage, un mémoire ou une thèse, écrire une bonne conclusion nécessite :
Pour écrire une bonne introduction, il convient de respecter deux aspects :
Une introduction est généralement un texte court figurant en préambule d’un ouvrage. Dans un écrit académique (rapport de stage, mémoire, thèse), l’introduction suit des usages particuliers et sert principalement à présenter le sujet du document et à annoncer son plan.
Les remerciements se positionnent en début de document :
Selon le type de document (rapport de stage, mémoire et thèse), les remerciements différeront très légèrement sur le ton, la position ou les destinataires. Il est toutefois possible de retenir que les remerciements occupent généralement une page tout au plus, qu’il est souhaitable d’indiquer le prénom, le nom et la fonction ou la qualité des personnes remerciées, d’écrire sans fautes et en expliquant pour quelle raison on souhaite remercier les personnes.
Le résumé doit être placé en début de document, après les remerciements et avant le sommaire.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l’imparfait : j’aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
Concernant les écrits académiques, il est fortement conseillé de rédiger un avant-propos pour les mémoires. Cette démarche reste facultative pour les rapports de stage et peu courante pour les thèses.
Dans un écrit académique, un avant-propos doit comprendre :
L’avant-propos est un texte court positionné au début d’un ouvrage. Il précise le sujet exploré, le type de document produit, les raisons qui ont poussé à étudier ledit sujet, les objectifs du travail et les difficultés rencontrées.
Il est au préalable nécessaire de sélectionner les titres et les sous-titres dans votre document, puis de leur appliquer le titre qui vous convient (titre 1, titre 2, etc.). Une fois cette étape effectuée, il faut se rendre sur “références”, cliquer sur “table des matières”, puis sélectionner le modèle de table des matières qui vous convient ou “insérer une table des matières”, option vous permettant de paramétrer comme vous le souhaitez votre table des matières.
Une table des matières est une liste présentant la majeure partie ou l’ensemble des titres et sous-titres composant un document.
Traditionnellement, en France, le sommaire figure au début d’un document et la table des matières à la fin. L’influence anglo-saxonne fait qu’en l’absence de sommaire les tables de matières se présentent souvent en début de document.
De plus en plus souvent, la table des matières et le sommaire se confondent. La table des matières correspond à une liste complète des parties et des sous-parties d’un document.
Le sommaire est généralement plus succinct et ne reprend pas forcément toutes les sous-parties. Le sommaire propose un résumé des parties à venir dans le document et se situe ainsi au début de celui-ci.
Le sommaire est un terme assez large qui regroupe des aspects issus de la littérature, du journalisme ou des écrits académiques (mémoires, thèses, etc.). Il peut correspondre au résumé présentant les principales parties d’un document, à la présentation des chapitres d’un livre ou des titres et d’auteurs d’articles de revues.
Le groupe nominal est un mot ou un groupe de mots dont le mot chef de groupe est le nom, dit dans ce cadre “nom noyau” : le chien de Charly fait le beau.
L’indicatif est un mode personnel exprimant une action réelle ou présentée comme telle : Julien sort de la maison, Rémy achète des légumes, etc.
Le vocabulaire est un ensemble de mots constituant au choix : une langue, un domaine précis (arts, sciences, etc.) ou étant répertoriés dans un dictionnaire ou un recueil plus spécifique.
Le complément circonstanciel correspond à un mot ou à un groupe de mots indiquant une circonstance par rapport à ce qui est évoqué dans la phrase : Thierry est parti à 8 heures.
Le complément circonstanciel précise la circonstance dans laquelle l’action a lieu (lieu, temps, moyen, manière, but…). Il est souvent possible de le supprimer ou de le déplacer : avant-hier, il lui a demandé son chemin.
Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d’accompagnement, de comparaison, d’opposition, de concession et de condition.
Vous pouvez vous aider des mots “c’est/ce sont” (introduisant le sujet) et “qui” (introduisant le groupe verbal) : le boulanger prépare le pain/c’est le boulanger (sujet) qui prépare le pain (groupe verbal).
Le groupe verbal est le groupe de la phrase qui se compose du verbe et, éventuellement, des mots qui viennent apporter des précisions sur l’action ou l’état qu’il décrit. Le groupe verbal peut être constitué d’un mot (le verbe) ou de plusieurs mots (dont le verbe).
Le groupe nominal peut avoir la fonction de sujet, COD, COI, complément circonstanciel, apposition, attribut du sujet…
Le groupe nominal peut se composer d’un seul mot (un nom), dans ce cas on le nomme groupe nominal minimal, ou de deux (un déterminant et un nom), voire de plusieurs mots qui constituent des expansions du nom (adjectif, complément du nom…).
L’indicatif exprime une réalité ou une action qui est présentée comme réelle, que ce soit au passé, au présent ou au futur.
La conjugaison est l’ensemble des formes qu’un verbe peut prendre et donnant ainsi des informations sur son temps (présent, passé…), son mode (indicatif, conditionnel…), sa personne (je, tu…) et la voix (active, passive…) à laquelle il est employé.
Les articles | Les articles indéfinis | Un, une, des |
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Les articles définis | Le, l’, la, les | |
Les articles définis contractés | Au, du, à la, de la, aux, des | |
Les articles partitifs | Du, de l’, de la, des | |
Les déterminants/adjectifs non qualificatifs | Les déterminants démonstratifs | Ce, cet, cette, ces |
Les déterminants possessifs | Mon, ton, son, ma, ta, sa, mes, tes, ses, notre, votre, leur, nos, vos, leurs | |
Les déterminants exclamatifs et interrogatifs | Quel, quelle, quels, quelles | |
Les déterminants numéraux | Un, deux, trois, quatre…
Premier, deuxième troisième, quatrième… |
|
Les déterminants relatifs | Lequel, laquelle, lesquels, lesquelles, duquel, de laquelle, desquels, desquelles, auquel, à laquelle, auxquels, auxquelles | |
Les déterminants indéfinis | Certain, quelque, aucun, nul, chaque, différent, plusieurs… |
Un déterminant précède (directement ou non) un nom et forme avec celui-ci le groupe nominal.
Lorsque “la plupart” est employé seul, le verbe qui le suit s’accorde au pluriel : la plupart ont aimé le film. S’il est employé avec un complément, le verbe s’accorde en fonction de celui-ci : la plupart de mon temps est consacré à la lecture/la plupart de ses albums sont en anglais.
“Ensemble” ne s’accorde pas lorsqu’il est un adverbe, les adverbes étant invariables. Si “ensemble” a valeur de nom individuel (un ensemble), il est nécessaire de l’accorder avec le nom qui le précède. Enfin, si “ensemble” a valeur de nom collectif (un ensemble de lycéens), il est nécessaire d’observer le sens de la phrase pour définir la manière d’accorder son groupe verbal.
L’accord à mettre en place avec le nom collectif suit plusieurs généralités, parfois assez contradictoires. Il est ainsi primordial d’observer le sens voulu dans la phrase pour déterminer comment l’accorder : un troupeau de moutons monte en direction du chemin (le verbe monter est au singulier, car il est considéré ici que le troupeau monte globalement en direction du chemin).
Pour former le passé simple, on prend le radical du verbe à l’infinitif (aimer, finir) et on ajoute les terminaisons suivantes pour le 1er et 2e groupe :
2e groupe : je finis, tu finis, il finit, nous finîmes, vous finîtes, ils finirent.
Plusieurs terminaisons sont possibles pour les verbes du 3e groupe et le radical de ceux-ci peut évoluer. Ces verbes du 3e groupe peuvent par exemple prendre les terminaisons suivantes :
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait.
Condition : Si j’avais le temps, je lirais une bibliothèque entière !
Hypothèse : Les pertes s’élèveraient à des milliards d’euros.
Formule de politesse : Pourrais-tu fermer la fenêtre s’il te plaît ?
Souhait : J’aimerais tellement que tu viennes pour mon oral.
Le verbe être se conjugue de la façon suivante : je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont.
Le verbe avoir se conjugue de la sorte : j’ai, tu as, il a, nous avons, vous avez, ils ont.
Les terminaisons sont les suivantes pour les verbes des 1er et 2e groupes.
Le présent de l’indicatif se conjugue avec les terminaisons suivantes pour les verbes des 1er et 2e groupes.
Le plus-que-parfait doit être utilisé quand on veut exprimer une action antérieure à une autre déjà située dans le passé : Sarah est arrivée, mais Mathieu était parti.
Le plus-que-parfait se forme avec l’auxiliaire être ou avoir conjugué à l’imparfait suivi du participe passé du verbe conjugué : j’étais parti, j’avais gagné, etc.
Le plus-que-parfait est un temps conjugué à l’indicatif et au subjonctif. Il sert à indiquer une action ayant eu lieu avant une autre déjà située dans le passé.
Le passé simple est utilisé dans le cadre d’un langage soutenu, le plus souvent à l’écrit, pour une action brève, terminée et située dans le passé.
Le passé simple exprime une action terminée dans le passé, le plus souvent brève. Il est le plus souvent utilisé à l’écrit. Ses terminaisons sont les suivantes pour les 1er et 2e groupes :
Les verbes du 3e groupe peuvent avoir différentes terminaisons :
Un nom collectif est un nom commun désignant un ensemble pouvant être composé d’êtres, d’animaux, d’objets et de choses diverses : une horde de loups, une foule de personnes…
Le passé composé doit être utilisé pour indiquer une action terminée, le plus généralement brève. Il peut toutefois être employé de façon rare pour indiquer un futur ou une action répétée (je vais bientôt finir/il a appris le piano tous les jeudis).
Il faut utiliser l’auxiliaire être ou avoir conjugué au présent et le faire suivre du participe passé du verbe conjugué. Par exemple, pour le verbe répéter : j’ai répété.
Le passé composé est un temps de l’indicatif exprimant le plus souvent une action brève et terminée.
L’imparfait est principalement le temps de l’inachevé, de l’action qui dure dans le passé. Ses terminaisons sont les suivantes : ais, ais, ait, ions, iez, aient.
Les terminaisons de l’imparfait sont : ais, ais, ait, ions, iez, aient. Elles s’ajoutent au radical du verbe formé à la première personne du pluriel au présent de l’indicatif (nous aimons : j’aimais, tu aimais, etc.).
L’imparfait de l’indicatif présente une action réelle qui dure dans le passé. Il peut également exprimer le déroulement d’une action, une habitude, une répétition ou présenter une description.
Le futur de l’indicatif est utilisé pour indiquer une action réelle se déroulant dans l’avenir. Le futur peut se décliner en trois temps : le futur simple, le futur antérieur et le futur proche.
Les terminaisons du futur simple sont les suivantes : -rai, -ras, -ra, -rons, -rez, -ront.
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